Lorsqu’on pense une stratégie d’éducation au numérique, ou d’inclusion numérique (terme que je trouve personnellement plus étroit, mais c’est un autre sujet d’article), il peut être utile de distinguer des niveaux d’usages numériques. Chacun de ses niveaux occasionne des besoins, nécessite des compétences (manipulatoires, mais pas uniquement), génère des contraintes d’accès, et recouvre des réalités sociologiques bien distinctes.
À la lecture de nombreuses enquêtes et articles1 (notamment le projet de recherche Capacity, porté par la Fing et le GIS Marsouin) partagés en fin d’article, et à ma propre expérience de terrain, j’identifie (…)