Un texte signalé par Alain Mille et repris du texteen ligne sur framaform
Nous vivons un temps de profondes mutations. Les transformations écologiques en cours engendrent tensions géopolitiques, désordres sociaux et désarroi chez de nombreux citoyens. Les chercheurs et les institutions scientifiques sont à l’origine des recommandations du GIEC. Pourtant, face à ces défis, le monde académique est aussi faiblement réactif que le reste des institutions. Nos instruments de gouvernance et nos traditions professionnelles nous tiennent aujourd’hui à l’écart des problèmes centraux de notre civilisation. Nous gaspillons notre temps et notre (…)



Riposte créative pédagogique