un articlerepris du site de Librecours
Argumentaire
La participation de l’industrie informatique à l’empreinte écologique des humains (CO2, terres rares, biodiversité, eau...) est aujourd’hui mesurée, même si ces mesures peinent à être précises. L’empreinte du numérique se répartit d’une part entre la fabrication et l’utilisation, et d’autre part entre les terminaux, les serveurs et le réseau. Des controverses existent sur la prédominance de chacun de ces postes, mais un consensus se dégage sur la nécessité de considérer la croissance exponentielle du numérique comme problématique.
Le numérique se pose en un double cas limite : (…)