N’étant pas juriste, c’est avec prudence et humilité que je vous partage la réflexion suivante.
Comment est-ce possible qu’on laisse encore des entreprises privées lancer ce qu’il faut bien appeler des expérimentations à grande échelle, sans dispositif de contrôle, sur des produits aussi potentiellement dangereux que des programmes d’intelligence artificielle comme ChatGPT ? Alors que de l’aveu même de nombreux chercheurs de pointe du domaine, « on ne sait pas encore pourquoi ça marche aussi bien ».
On ne laisserait pas une entreprise agroalimentaire (dont on rappellera que le but n’est pas de nourrir les gens, mais de faire du profit (…)