Alors que la pandémie recule dans notre pays, voire semble derrière nous pour certains, la rentrée à venir dans l’enseignement supérieur se prépare selon un scénario qui intègre la nécessité de limiter les brassages de population, le fait que tous les étudiants ne pourront pas être présents à la rentrée (les extra-européens et les personnes « à risque ») et le risque d’une seconde vague.
Même si on peut dénoncer le fait que l’enseignement à distance, surtout en situation d’urgence, n’est pas de même qualité que celui en présence, le numérique et la distance auront la part belle à la rentrée.