Aujourd’hui, nous nous informons très majoritairement grâce à des intermédiaires, qui sont les plus souvent Google (actualités), Twitter et Facebook.
Cette infomédiation présente pourtant plusieurs inconvénients, pour le lecteur comme pour le créateur de contenu. Pour le lecteur, ce sont des algorithmes qui déterminent notre flux d’actualité, et qui classent l’importance des réponses, car nous n’avons pas le temps de tout lire. Or ces algorithmes n’ont pas vraiment notre stimulation intellectuelle ou le pluralisme de l’information à cœur.
Pour les créateurs de contenus, dépendre de ces infomédiaires est également une situation (…)