Josefa Ndiaz/Unsplash
Cette chronique est dans la droite ligne et se nourrit des recherches et rencontres publiées sur mon site Les cahiers de l’imaginaire.
Vous arrive-t-il de vous acharner sur des détails ? De vous éterniser sur une tâche ? De vous en vouloir si un petit incident a laissé une égratignure sur un objet ? De ne pas oser soumettre un article, car il ne vous semble pas encore assez bien ? De ne pas réussir à finir ce travail, cette toile ou ce manuscrit dans les délais que vous aviez prévus ? D’abandonner dès qu’une critique vous fait trop souffrir ?
Si vous répondez oui à ces questions, vous souffrez peut-être de perfectionnisme. (...)