Devenu un véritable marché, l’habitat temporaire n’a désormais plus grand chose à voir avec les démarches spontanées de ses origines portées par des collectifs artistiques en recherche de lieu indépendants de création et/ou de diffusion. Il donne désormais lieu a de vastes projets urbains d’occupation d’espaces vacants, et à de nouveaux professionnels de l’intermédiation chargés de les mettre en œuvre. Alors, que nous disent les pratiques des acteurs sur la possibilité - ou non - de favoriser l’émergence de communs urbains et de quartiers solidaires ? La Revue EnCommuns a souhaité ouvrir ce questionnement, en recueillant la (…)


