Cet appel est ouvert aux contributions issues de la recherche et aux analyses réflexives issues des pratiques permettant de croiser les dimensions médiatiques et éducatives en éducation relative à l’environnement (ERE). Relativement aux champs de recherche mobilisés, son intention est, principalement mais non exclusivement, de mettre en dialogue les sciences de l’Éducation et de la Formation (SEF) et les Sciences de l’Information et de la Communication (SIC). En effet, si l’objet de l’éducation relative à l’environnement est « la [re]construction du réseau des relations entre les personnes, les groupes sociaux et l’environnement » (Sauvé et Orellana, 2005), la communication environnementale, elle, se définit comme « ’étude de l’ensemble des dynamiques communicationnelles et interactives concernant les relations de l’humanité avec son environnement social et naturel, et la transition de l’humanité vers un nouveau type de société » (Catellani et coll., 2019, p. 18).
Dans ces deux champs de recherche, la circulation des savoirs, des dispositifs mobilisés, des valeurs et des représentations en lien avec les enjeux socio-écologiques joue un rôle dans les rapports que les individus et les sociétés construisent avec leur environnement. Les médias participent de cette circulation sur des questions complexes comme celles du développement durable (Jeanneret, 2010) ou du numérique (Deltour et coll., 2010), ils participent ainsi des choix de société, des décisions politiques et de la construction de valeurs communes. Pour autant, les productions médiatiques, par essence polyphoniques et hétérogènes, sont autant centrales que diverses dans leurs fabriques, leurs contenus et leurs objectifs (Lafon, 2019).
Dans ce numéro, nous proposons de considérer les médias selon une approche semi-extensive comme « tout moyen, outil ou système d’organisation permettant la diffusion massive ou la communication publique d’une information ou d’un message dans l’espace et dans le temps » (D’Almeida et Delporte, 2010, p. 11‑12). Cette définition a l’avantage de maintenir la dimension technique et sociale des médias, tout en mettant en exergue leur lien originel avec la diffusion de masse (les mass médias) pour mieux aider à les circonscrire et à les identifier dans le cadre de notre appel. Ils relèvent donc des médias de masse tels que les médias écrits (journaux, livres, bandes dessinées, etc.), ou les formats audiovisuels (radio, télévision, documentaires, etc.), mais aussi des médias sociaux, comme les blogues, les podcasts, les wikis, les chaines Youtube, etc.
En plus de ces formes médiatiques, ce numéro entend intégrer la variété des dispositifs de médiation, parmi lesquelles l’exposition, les ateliers, les serious game, les boutiques de sciences, etc. La médiation est entendue comme une « forme particulière de la communication » qui évolue « en fonction des publics et du média choisi : transmission, traduction, vulgarisation, régulation… » (Araszkiewiez et coll., 2019). Elle est ainsi multifacette : fondamentalement elle prend la forme d’une mise en relation, dans laquelle elle jour le rôle du tiers. Au fil du temps, elle est également devenue une technique qui s’est professionnalisée et elle se conçoit comme un processus qui vise la transformation du public en acteur, ce qui la différencie de la vulgarisation scientifique (Irwin, 2002).
En s’intéressant aux médias et aux médiations, on met en évidence le questionnement à l’égard de leurs modalités de réceptions, leurs conditions d’interprétations et leurs usages qui sont tout aussi variés. Sur un sujet comme le changement climatique coexistent une pluralité de productions médiatiques, conçues et diffusées par une grande hétérogénéité d’acteurs et dont les publics s’emparent pour s’informer et possiblement informer à leur tour (par exemple : Micheau, 2012 ; Comby, 2015 ; Fløttum et coll., 2019). De même, les dispositifs médiatiques peuvent être inclus dans différentes situations éducatives formelles ou non formelles (Falk et coll., 2009) à propos, par et pour l’environnement.
Médias et médiations amènent à réfléchir à l’impact de l’accessibilité plus grande des informations autour des questions socio-écologiques et des capacités de décryptage des publics. Le public est-il invité à poser un regard critique sur les contenus proposés ? Les scénarios pédagogiques conçus autour des médias mettent-ils en lumière la fabrication des supports médiatiques ou sont-ils exposés comme de simples manières d’accéder à du contenu ? À quel point le dispositif communicationnel est-il interrogé et pour quoi est-il mobilisé ?
Dans cet appel, les usages des médias sont envisagés au prisme d’un dialogue entre les notions d’éducation, de sensibilisation et d’encapacitation. Si l’éducation est ce processus long et inachevé de déploiement continu de l’être et de l’agir par la “conduite hors de soi” (e-ducere), guidée par de bons soins (e-ducare) (Morandi, 2005), la sensibilisation est davantage circonscrite au fait de vouloir développer chez un sujet un intérêt, une curiosité voire une prise de conscience (Kollmuss et Agyeman, 2002). Quant à l’encapacitation, elle est le versant opératoire, celle qui renvoie aux compétences, à la mobilisation des capacités du sujet, au pouvoir d’agir dans la cité (Buttier et Panagiotounakos, 2023).
Les articulations entre médias et environnement et entre productions, usages et visées sont donc complexes. Elles préoccupent depuis plus de trente ans les champs de recherche francophone en SIC et SEF. À la suite de l’émergence à l’échelle internationale des courants d’écologie politique dans les années 1970 et à l’institutionnalisation de ces questions naîtront d’ailleurs conjointement l’éducation relative à l’environnement et la muséologie de l’environnement. Les auteurs de L’environnement entre au musée (Davallon et coll., 1992) considéraient la mise en exposition des problématiques socio-écologiques comme la conséquence de la patrimonialisation de l’environnement d’une part et d’autre part, de « l’avènement du musée comme média c’est-à-dire comme dispositif culturel socio-sémiotique convoquant savoirs et imaginaires » (Zwang et Girault, 2019).
Dans les années 1990, les recherches francophones en SEF et plus particulièrement en didactique des sciences commencent à interroger le potentiel éducatif des médias sur ces questions, autant en milieu scolaire qu’extrascolaire, dans la sphère dite non formelle (musées, associations, etc.) Dans le cadre des XIIIe journées internationales de Chamonix sur la communication, l’éducation et la culture scientifiques et industrielles étaient intitulées École et médias face aux défis de l’environnement (1992). Il y était autant question des rôles de plusieurs supports médiatiques (articles de presse, livres de jeunesse, bandes dessinées, etc.) comme outils pédagogiques et de sensibilisation environnementale que des enjeux de la « vulgarisation » dans les réserves naturelles, les parcs et les musées. Les cadrages théoriques étaient alors inscrits dans cette volonté de combler la distance entre détenteurs de savoirs et grand public (vulgus : le peuple), fondée sur une sorte de grand partage épistémique (Bensaude-Vincent, 2010).
Dans les années 2000, c’est dans cette veine de la vulgarisation ou de la diffusion scientifique, à laquelle s’ajoutait une forte dichotomie conceptuelle entre champ médiatique d’un côté et champ scolaire de l’autre, que s’est construite la notion de médiatique des sciences. L’objectif était de :
fournir une réflexion théorique pour démarquer la médiatique par rapport à la didactique afin de baliser un champ de recherche pluridisciplinaire et de fournir une trame de réflexion pour les concepteurs d’outils et de situations extra-scolaires de médiation en sciences et techniques (muséologues, vulgarisateurs) mais aussi enseignants utilisant ces outils ce qui est de plus en plus fréquent aujourd’hui (Guichard et Martinand, 2000, p. 5)
Parallèlement, émergeaient en SIC, sous les plumes de Nicole d’Almeida, Françoise Bernard et Thierry Libaert, les premiers travaux qui se réclamaient de la communication environnementale. Sans se préoccuper des enjeux éducatifs des différents médias étudiés, ces recherches permettaient de mettre à jour des discours et des dispositifs communicationnels à visée transformative du point de vue des attitudes et des comportements (Bernard, 2007). Symétriquement, de tels objectifs existaient dans les courants positivistes de l’ERE engagés vers l’acquisition de gestes favorables à l’environnement (Girault et Sauvé, 2008), et ce, sans pour autant se baser sur des dispositifs médiatiques (Hungerford et Volk, 1990).
Au travers de ce numéro, nous cherchons à confronter ces positionnements épistémologiques et disciplinaires en interrogeant la mobilisation de termes très proches les uns des autres sur le plan sémantique. Medium comme mediare, apportent avec eux, l’un comme l’autre les notions de tiers, de milieu, d’intermédiaire (Araszkiewiez et coll., 2019) et ont donné naissance à de multiples formes dérivées. Ces formes variées à l’étymologie commune sont utilisées chacune par les auteurs de SIC et de SEF, dans des acceptions différentes qui leur permettent d’apporter des nuances à leurs objets de recherche. Par exemple, en didactique, l’approche théorique instrumentale (Gueudet et Trouche, 2008) envisage le média scolarisé comme un artefact qui devient une ressource en fonction d’un schème d’utilisation. En SIC, ce sont au contraire les propriétés communicationnelles des médias éducatifs qui ont pu être considérées comme tiers-médian de la relation pédagogique (Mœglin, 2005).
Hormis en muséologie de l’environnement (par exemple : Fortin-Debart, 2004 ; Quertier et Girault, 2011 ; Soichot, 2011), les croisements entre productions médiatiques et éducation dans les champs de l’ERE, de l’éducation au développement durable (Barthes et coll., 2024) et plus récemment de l’éducation en anthropocène (Wallenhorst et Pierron, 2019) ont été peu opérés. De même, dans le champ de la didactique des questions socialement vives, dont l’objet est la formation de futurs citoyens critiques participant aux débats démocratiques sur la nature et l’environnement (Simonneaux et Simonneaux, 2011), la question médiatique n’est pas problématisée en tant que telle dans son intégration éducative, à de rares exceptions près (Urgelli et coll., 2011). Alors que la médiatique des sciences a eu jusqu’alors peu de prises en sciences de l’éducation, la médiatisation des savoirs en éducation sur les questions socio-écologiques a été le plus souvent abordée comme une toile de fond sociétale (Barthes et coll., 2024). Celle-ci pouvant être une source d’information pour les élèves (Kalali et coll., 2019) ou brouiller les repères épistémologiques sur une thématique donnée (la réintroduction d’espèces sauvages, les organismes génétiquement modifiés, le changement climatique, etc.).
Cependant, des recherches récentes en didactique des sciences, orientées vers les problématiques socio-environnementales, s’intéressent à des médias tels que les albums de jeunesse (Bruguière et coll., 2024) ou la bande dessinée (Vigneron, 2024). Par ailleurs, le déploiement généralisé d’une culture numérique (Cardon, 2019) offre la possibilité d’un renouvellement de la question des médias pour sensibiliser et éduquer à propos, par et pour l’environnement. En ERE, quelques recherches se sont par exemple intéressées au potentiel des réseaux sociaux pour l’engagement socio-environnemental dans des contextes non scolaires (Pruneau et coll., 2017 ; Touir, 2015). En SIC, le recours à des dispositifs de médiation numérique à la nature (Kohlmann, 2023) pose la question de la sensibilisation par les savoirs, mais également par la constitution de collectifs en ligne ou sur le terrain. Elle interroge également le rôle des médias et des médiations sur la possibilité d’une forme d’encapacitation citoyenne.
Pour autant, face aux enjeux socio-écologiques, les articulations entre médias, médiations, éducation, sensibilisation et encapacitation posent de multiples questions qui restent encore largement à explorer :
- Comment des dispositifs médiatiques sont-ils mobilisés ? Sur quels critères (contenus, sources, propriétés communicationnelles) et avec quels objectifs ?
- Comment des médias et des médiations, à travers les savoirs, les valeurs et les représentations qu’ils véhiculent, participent-ils à la construction des rapports à la nature et à l’environnement ?
- Comment articuler les champs de la recherche en sciences de l’éducation (ERE, didactique des sciences) et des sciences de l’information et de la communication pour penser les enjeux de sensibilisation, d’encapacitation et d’éducation ?
Afin d’explorer ces questions, ce numéro propose quatre axes possibles de contribution :
– Axe 1 : L’usage de dispositifs médiatiques dans différents milieux éducatifs (scolaires, associatifs, musées, etc.) pour éduquer et/ou sensibiliser à l’environnement et/ou encapaciter, avec une attention particulière à la problématisation conjointe des enjeux médiatiques et éducatifs ;
– Axe 2 : Des analyses critiques de dispositifs médiatiques en matière de contenus, de représentations, de valeurs et d’objectifs (transmission d’informations, changement de comportements, provoquer des émotions, susciter des débats, etc.) ;
– Axe 3 : Des réflexions transversales basées sur des études empiriques, permettant de discuter des concepts clés articulant médias, médiations, sensibilisation, éducation, encapacitation autour de questions socio-écologiques ;
– Axe 4 : Des retours d’expériences d’interventions impliquant des communautés ou des élèves autour de l’usage des médias en ERE.
Sont attendues des propositions qui proviennent des sciences de l’éducation et des sciences de l’information et de la communication, avec un éclairage possible/souhaité de diverses autres disciplines ou champs de savoirs ayant trait au rapport à l’environnement, dont l’approche croisée et réflexive sera valorisée.
Calendrier :
– Soumission des résumés avant le 15 mai 2025
– Soumission du texte dans sa version intégrale avant le 30 septembre 2025
- Publication du numéro : décembre 2025
En rappel, voici la procédure de soumission d’un projet d’article : https://journals.openedition.org/ere/592
Contact : revue.ere@uqam.ca
Notices biographiques
Aurélie Zwang est maîtresse de conférences en sciences de l’éducation et de la formation à la faculté des sciences et au LIREDF (Laboratoire interdisciplinaire de recherche en didactique éducation et formation) de l’Université de Montpellier. Ses travaux s’intéressent aux relations humains-nature construits en éducation notamment à travers des médias.
Émilie Kohlmann est maîtresse de conférences en Sciences de l’Information et de la Communication à l’Université Grenoble Alpes, au laboratoire du GRESEC (Groupe de recherche sur les enjeux de la communication). Ses travaux portent principalement sur les liens entre communication, médiation et vulgarisation dans le champ de l’environnement et des sciences participatives, ainsi que sur les représentations sous-jacentes de la nature et des sciences, mais aussi de la communication elle-même.
Bibliographie
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Bensaude-Vincent, B. (2010). Splendeur et décadence de la vulgarisation scientifique. Questions de communication, 17.
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Bruguière, C., Ghomman, M., Heraud, J.-L., Morin, O., Tremey, E. et Triquet, E. (2024). Manières d’habiter la terre dans les albums de fiction réaliste. Entre émerveillement et engagement. Littérature de jeunesse et écologie, 56, 127‑159.
Buttier, J.-C. et Panagiotounakos, A. (2023). Introduction générale. Dans Jean-Charles Buttier et Alexia Panagiotounakos (dirs), Des savoirs pour agir sur le monde (p. 13‑23). Presses universitaires de Grenoble.
Cardon, D. (2019). Culture numérique. SciencesPo les presses.
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Comby, J.-B. (2015). Controverse et disqualification médiatique des « climato-sceptiques » en France. Hermès, La Revue, 73(3), 31‑38.
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