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Cette chronique est dans la droite ligne et se nourrit des recherches et rencontres publiées sur mon site Les cahiers de l’imaginaire.
Je sais. Le titre de ma chronique est suspect. Certains d’entre vous se demanderont si je ne suis pas influencée par l’essai de Didier Pourquery, En finir avec l’ironie ? Ce qui pourrait être possible. Si on pouvait travailler moins et gagner plus, dites-moi alors pourquoi cette pratique n’est pas plus répandue ?
J’ai beaucoup appris sur le second degré en lisant cet essai. Il faut un talent particulier et beaucoup d’esprit pour manier l’art de l’ironie. C’est un jeu qui stimule (…)