Certaines personnes mettent le bazar dans votre groupe et critiquent tout avec parfois beaucoup de violence. On les appelle les trolls. Ont-ils eux aussi un rôle dans le groupe ? Et comment gérer la situation ?
Une initiative de l'Institut Mines-Télécom avec un réseau de partenaires
Certaines personnes mettent le bazar dans votre groupe et critiquent tout avec parfois beaucoup de violence. On les appelle les trolls. Ont-ils eux aussi un rôle dans le groupe ? Et comment gérer la situation ?
Tous ceux qui participation activement à un groupe apportent une contribution qui contribue à en faire un groupe inactif. Mais quâ€â„¢en est-il de ceux qui ne font rien ? Faut-il les exclure ou bien ont-ils un rôle eux aussi ? (spoiler : "tous ceux qui ne font rien sont vos amis"...)
Après le rôle du porteur de projet et celui du leader, nous allons voir quel est le rôle du facilitateur de communauté dans un groupe en réseau (un archipel). Un rôle discret mais fondamental pour permettre que la communauté de projets fonctionne sur la durée.
Un leader peut être utile pour apporter de la légitimité et de la visibilité au groupe, il donne envie à de nouvelles personnes de rejoindre le groupe. Mais il peut aussi intimider et freiner les initiatives. Quelle est la juste place d’un leader dans un groupe en réseau ?
Nous démarrons aujourd’hui une série de trucs d’animation sur les différents rôles au sein d’un grand groupe en réseau. Commençons par le porteur de projet. Qu’apporte-t-il exactement au sein d’une communauté de projets en réseau ?
La situation actuelle nous incite à évaluer les étudiants à distance. Les recommandations pour limiter la fraude consistent notamment à proposer des tests composés de questions indépendantes, tirées aléatoirement et sans possibilité de retour en arrière. Cette vidéo montre à travers un exemple comment partir d’un examen papier-crayon habituellement posé en présentiel pour le repenser en activité de test en ligne.
L’animation de groupes au XXIème siècle peut se résumer à : “animer des gens qui n’ont pas le temps avec des gens qui n’ont pas le temps". Le premier réflexe consiste à essayer de gagner du temps pour soi à tout prix. Et si on pouvait gagner du temps tous ensemble ?
Dans le milieu de la coopération on parle beaucoup des groupes en archipel, un concept proposé par Edouard Glissant, un écrivain, poète et philosophe martiniquais Encore aujourd’hui, avec nos avancées dans les différentes sciences et dans la compréhension des dynamiques de groupes cette idée est tout particulièrement pertinente.
Après une réunion on est face à un dilemme : cela prend beaucoup de temps de faire un compte rendu et en plus personne ne les lit
Mais si on n’en fait pas alors on oublie tous ceux qui ne sont pas venus et qui ne peuvent pas "raccrocher les wagons". Comment s’en sortir ?
Après avoir vu comment présenter les communautés de projets en réseau et avoir levé une première objection, pourquoi pas une plate-forme avec inclus tous les outils pour animer le groupe, vous rencontrerez probablement une deuxième objection : le mail est (malheureusement) la seule façon de communiquer avec pratiquement toutes les personnes mêmes les moins impliquées, alors que beaucoup ne veulent plus être inondé par des mails. Mais il y a une solution...
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