Les mouvements de concentration universitaire en cours depuis près d’une dizaine d’années sous une forte impulsion gouvernementale exprimée notamment par la loi Fioraso de juillet 2013 et la logique des investissements d’avenir (IDEX, ISITE…) interpellent fortement l’ensemble des établissements français d’enseignement supérieur et de recherche, universités et grandes écoles. Et placent ceux dont la taille est relativement plus faible devant des choix stratégiques souvent difficiles.
Ils n’ont que deux options ; soit continuer à se développer de manière indépendante en tentant de préserver un statut autonome ; soit rejoindre (selon un (…)