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Cette étude, qui a pris en compte les principales dimensions de l’activité de recherche et d’enseignement supérieur, en l’organisant en sept composantes (organisation institutionnellede l’ESR, pratiques d’enseignement et de formation, éthique et culture numérique, données, interactions de l’ESR avec la société, pratiques de recherche, contexte sociétal), aboutit en effet à des propositions paradoxales qui peuvent souvent inquiéter, alors qu’il y a des chemins de progrès humain considérable permis par la transition numérique. Comment profiter de l’immense apport de la plateformisation dans la production et le partage des connaissances, sans prendre le risque que les données soient captées et monétisées par des entreprises mondialisées ? Quelle organisation et quel pilotage de l’ESR aux différentes échelles (mondiale, continentale, nationale, régionale) si l’on considère que la connaissance est un bien commun ? Comment concilier le développement des usages des outils numériques pour la recherche et l’enseignement supérieur et la frugalité dans la consommation d’énergie et de terres rares qui s’imposera un jour ou l’autre à tous ?
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- Enseignant
- Transition
- Numérique responsable
- Transition écologique
- Outil méthodologique
et / ou
- Institutionnel
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