Un article repris du magazine The Conversation, une publication sous licence CC by nd
Comment les jeunes générations, actuelles et futures, peuvent-elles faire preuve d’empathie et désirer préserver un monde naturel menacé par les activités humaines, quand ce monde disparaît de plus en plus vite et que ces adultes de demain le connaissent de moins en moins ?
Autrement dit : comment se sentir en lien avec d’autres êtres vivants ou milieux si nous ne les avons jamais côtoyés ?
Les rapports de l’IPBES documentent ce recul du vivant et nous alertent : aujourd’hui, 75 % de la surface des écosystèmes continentaux et 40 % des océans ont (…)