Innovation Pédagogique et transition
Institut Mines-Telecom

Une initiative de l'Institut Mines-Télécom avec un réseau de partenaires

Ademe (Agence de la transition écologique)

Articles de cet auteur (3)

  • Le bénéfice environnemental d’un smartphone reconditionné est de 77 à 91 % comparé à un équipement neuf

    L’empreinte carbone de la France due aux services numériques représente, sur un an, 16,9 millions de tonnes eqCO₂. Shutterstock
    Dans deux études dévoilées ce 19 janvier 2022, l’Agence de la transition écologique se penche sur le numérique et ses effets sur l’environnement en France. La première, menée conjointement avec l’Arcep, dresse un état des lieux de l’impact des services numériques en France, en tenant compte de tous les éléments nécessaires à la construction d’un service numérique : réseaux et infrastructure, data centers, équipement des usagers chez les particuliers et les entreprises (smartphones, téléviseurs connectés, (...)

  • Quand l’open data et l’open source deviennent des leviers pour accélérer la transition écologique

    Des simulateurs ouverts et réutilisables ont été créés par l’Ademe pour aider les citoyens à réduire leur impact carbone. Ademe, Fourni par l’auteur
    Sites Internet, applications d’information ou d’achat… ces très nombreux outils comptent chaque jour des millions d’utilisateurs. Mais dès qu’il s’agit d’obtenir des informations environnementales, cela exige souvent pour les citoyens d’aller chercher l’information par ailleurs, sans qu’ils sachent toujours sur quelles données s’appuient les résultats. De plus en plus soucieux de tenir compte de l’impact environnemental de leur consommation, les citoyens se trouvent bien souvent démunis à (...)

  • Avec la low-tech, penser et agir par-delà la technique

    Four solaire de Neoloco, projet d’artisanat low-tech en Normandie. Neoloco, Author provided
    L’Agence de la transition écologique (Ademe) a mené une étude publiée en mars 2021 pour dresser un état des lieux des démarches low-tech et des perspectives associées. Car si le concept prend racine dans les années 1970 avec des auteurs comme Ivan Illich, Lewis Mumford, Ernst F. Schumacher, Jacques Ellul ou Cornélius Castoriadis, il n’existe pas de définition commune et partagée relative à ce terme. L’objectif était donc d’en proposer une autre, complémentaire.
    En bref, alors que la masse de la « techno-sphère » (objets, machines, (...)