À quelques semaines de l’ouverture de la COP26, il faut rappeler que l’année 2021 n’est pas seulement un moment de vérité pour la réponse globale au dérèglement climatique. Elle l’est tout autant pour la préservation de la biodiversité mondiale, qui menace de s’effondrer alors même qu’elle sous-tend le bien-être humain.
Si un consensus large se dégage désormais sur la nécessité de réformer en profondeur des systèmes économiques devenus autodestructeurs, car visiblement occupés à saper leurs fondations écosystémiques, deux approches s’opposent quant au chemin à suivre.
Or il faut rapidement pouvoir y voir clair pour espérer faire les (…)