Je me souviens de ce jour de cours où les étudiants devaient soumettre une vidéo de deux minutes pour leur évaluation de production orale. L’objectif de cette tâche actionnelle était de présenter un kit de survie pour bien vivre à Montréal en hiver.
J’avais vraiment hâte de découvrir leur travail bien que l’idée de visualiser et d’évaluer 22 vidéos YouTube m’effrayait.
En ouvrant ma boite de courriel, je constatais que 6 étudiants m’avaient envoyé un courriel du type, "je ne veux pas mettre de vidéos sur YouTube, je n’aime pas trop cette idée de rendre mon travail public."
Scénario catastrophe, je ne leur avais pas proposé d’alternatives…