À une époque marquée par la fin des grandes espérances, l’humanité semble engagée dans une course au désastre, où les raisons d’espérer, et de croire en un avenir meilleur et souriant, sont, sinon inexistantes, du moins très rares. Le chaos paraissant plus certain que le progrès, quel sens cela peut-il avoir d’être encore optimiste ? Une éducation à l’optimisme est-elle souhaitable, voire, simplement, possible ?
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Quand les collapsologues théorisent de manière crédible l’effondrement du monde, la volonté d’enseigner l’optimisme ne (…)