Nous proposons de mettre au jour les effets d’un double mouvement qui se compose à la fois avec la mutation des universités et avec les évolutions du cadre économique et législatif de la formation professionnelle. Pour cela, nous nous appuyons sur deux analyses. Celle de Christophe Dejours (1998), en psychodynamique du travail, qui montre comment la centralité du travail et les nouvelles organisations du travail impliquent l’évolution de la cité. Nous invitons également la philosophie de Barbara Stiegler (2019) sur l’injonction permanente à devoir s’adapter au rythme des mutations d’un monde complexe. Notre lecture porte sur les (…)