Quand on présente son groupe ou son projet, on a du mal à capter lâ€â„¢attention des personnes à qui on sâ€â„¢adresse. Et si plutôt on partait dâ€â„¢eux pour arriver ensuite à ce que lâ€â„¢on veut leur présenter ?
Une initiative de l'Institut Mines-Télécom avec un réseau de partenaires
Quand on présente son groupe ou son projet, on a du mal à capter lâ€â„¢attention des personnes à qui on sâ€â„¢adresse. Et si plutôt on partait dâ€â„¢eux pour arriver ensuite à ce que lâ€â„¢on veut leur présenter ?
Peut-on coopérer avec tout le monde, de façon universelle ? Nous aimerions bien et le monde serait ainsi plus… humain, mais apparemment ce nâ€â„¢est pas si simple.
LA question principale au XXIème est : comment gérer le manque de temps. A tel point que nous nâ€â„¢avons pas le temps de faire des choses qui nous feraient pourtant gagner beaucoup de temps. Par exemple de partager avec dâ€â„¢autres les ressources et les informations dont nous avons besoin sur les sujets sur lesquels nous travaillons. Heureusement, il y a des astuces...
La plupart du temps, on voudrait tous que ça se passe bien dans nos échanges avec les autres et au sein de notre groupe. Mais à la moindre occasion les tensions s’invitent. Aujourd’hui nous allons voir ce que l’on peut faire pour éviter que nos relations se détériorent.
La plupart dâ€â„¢entre nous se sentent submergés par de très nombreuses tâches à faire et plein de choses à penser. En plus, lorsque nous voulons commencer une tâche, nous devons faire un effort surhumain pour nous lancer. Et pour ne rien arranger, nous avons maintenant les mails, les réseaux sociaux et plein dâ€â„¢autres distractions qui nous tendent les bras. Et malheureusement câ€â„¢est bien plus facile dâ€â„¢y céder que de se lancer sur ce qui est important pour nous. Et pourtant il y a un secret pour que se lancer dans une tâche devienne pratiquement aussi facile que dâ€â„¢aller sur les réseaux sociaux.
Pour rendre ludique le (…)
Dans un échange entre plusieurs personnes il y a ceux qui sont pour et voient lâ€â„¢intérêt dâ€â„¢une solution et ceux qui disent quâ€â„¢il faut faire attention avec cette solution voire qui sont franchement contre, et finalement la discussion se résume à une lutte entre les arguments pour savoir qui va lâ€â„¢emporter…
Avoir un groupe actif câ€â„¢est bien, mais comment sâ€â„¢assurer quâ€â„¢il le restera sur la durée ? La réponse est simple mais contre-intuitive : ne pas oublier... ceux que lâ€â„¢on oublie toujours : les observateurs !
Souvent dans les groupes, ce sont toujours les mêmes qui font tout. Si on veut avoir dâ€â„¢autres personnes qui sâ€â„¢impliquent il faut passer son temps à leur courir avec malgré tout trop peu de résultats. Il existe une façon simple dâ€â„¢avoir suffisamment dâ€â„¢actifs dans votre groupe, mais ce nâ€â„¢est peut être pas celle à laquelle vous avez pensé…
Après un certain temps un groupe peut s’essouffler, les participants sâ€â„¢impliquent moins, les projets se réunissent de moins en moins et ne produisent plus grand chose, comment faire pour redémarrer la machine ?
Dans notre culture occidentale nous avons une culture de la controverse qui sâ€â„¢est révélée très efficace par exemple pour savoir laquelle de deux théorie scientifique est la plus juste, mais devons nous lâ€â„¢utiliser de façon exclusive ou bien son utilisation à mauvais escient risque-t-elle au contraire de ruiner lâ€â„¢intelligence collective lors dâ€â„¢un débat ?
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