La correspondance fait partie de ce que nous nommons les écritures impliquées et qui laissent une grande part à la subjectivité. Elles demandent l’effort de pouvoir signifier la réalité en place mais avec l’utilisation de cette subjectivité. Celui qui observe participe pleinement à cette observation. Il est impliqué et ne peux être neutre. La correspondance vit une autre forme de scientificité c’est-à-dire qu’elle doit rendre compte réellement en prenant une distance avec ce qui est vécu tout en acceptant et en utilisant sa subjectivité.